Sécurité sociale en portage salarial à Marseille : y avez-vous accès ?
Le travailleur non indépendant qui choisit le portage salarial à Marseille jouit des mêmes avantages qu’un salarié en entreprise. C’est d’ailleurs l’un des principaux avantages de ce statut. La sécurité sociale a pour but de préserver son bénéficiaire de la précarité afin de lui permettre de vivre dignement. Elle constitue un soutien minimum pour faire face aux aléas de la vie.
Le remboursement des soins en portage salarial à Marseille
Grâce à son statut de salarié porté à Marseille, le consultant doit obligatoirement être rattaché au régime général de la sécurité sociale. Il est également affilié à une caisse d’assurance maladie. Par conséquent, il a droit au remboursement de ses frais de santé, que ce soit en cas de maladie ou de maternité. Si vous avez déjà des droits ouverts auprès de la sécu, ces derniers seront prolongés durant le portage salarial à Marseille. Dans le cas contraire, vous pouvez en ouvrir en justifiant de votre nouvelle activité professionnelle en portage salarial.
Depuis 2016, la loi impose aux employeurs, et également aux sociétés de portage salarial, telles que regie-portage.fr à Marseille, de proposer une mutuelle d’entreprise collective à leurs employés/consultants. Cela étant fait afin de garantir le remboursement des soins de base tels que les soins dentaires, le forfait journalier hospitalier, etc.
Les indemnités journalières en cas d’arrêt de travail
En cas d’arrêt maladie, la couverture sociale verse également des indemnités journalières dont le montant correspond à 50% de la tarification journalière du salarié porté à Marseille. Les salaires perçus durant les trois derniers mois serviront de référence pour ce calcul.
Cependant, cet avantage reste attribuable sous certaines conditions. La première est que l’arrêt maladie ne doit pas dépasser 6 mois. De plus, durant les trois derniers mois précédant cet arrêt, il doit au moins avoir cumulé 150 heures de missions auprès de sa société de portage salarial à Marseille.
Si l’arrêt de travail dépasse les 6 mois, la perception des indemnités journalières ne se fera que si le consultant est immatriculé à la sécurité sociale au moins 12 mois avant l’arrêt maladie.